VOILÀ, C'EST FINI !... La SCIC est en voie de dissolution ! Mais, le cafédefa existe sans discontinuer depuis plus de 30 ans, alors nul doute qu'il renaîtra pour maintenir la vie sociale de notre village, même si cet été va nous sembler insipide et triste ! Merci de votre fidèle clientèle ! Nous avons passé de vraiment chouettes bons moments ensemble ...

 

CLAP DE FIN !!! 😭💧

 

ÉDITO DE PATRICK :

Voilà, voilà... C'est une bien triste nouvelle (bien qu'attendue !), le Covid (276 jours de fermeture !) et ses suites désastreuses ont eu raison du café de Fa, de sa convivialité légendaire, de son décor vintage hérité de Marie et ses 4 concerts mensuels et autres animations hérités de Julia et Manu !!! Mais que faire face à l'inflation démentielle des produits et services ( EDF en tête !) ainsi que des difficultés de coût, de gestion et de recrutement du personnel. Et puis les grosses tueuses économiques préférées de la France et de l'UE : Les normes ! La remise aux normes du café, c'est 2 à 3 mois d'appel d'offres, 3 à 4 de travaux coûteux ! Comptez l'été 2024 pour une éventuelle réouverture !!!

Peut-être faut-il se poser la question de la compatibilité de commerce et coopérative ? Je mettrais le lien pour que vous puissiez consulter le compte rendu de l'A.G.E. dés que le courageux Georges pourra l'achever (et c'est un très lourd boulot).

Merci à Julia, Shelley, Night, Sonia, Pauline... nos douces serveuses. Nicolas, Eric, Alain, Julien... les vaillants chefs. Les bénévoles (hélas trop peu nombreux) et autre extras dont mon grand âge m'a fait oublier temporairement le nom !

J'ai conçu et publié ce site (en tout bénévolat !) en janvier 2009 avec l'arrivée de Marie, il a ensuite changé de look pour Julia et Manu, puis la SCiC, il y a donc 14 ans 1/2 !! 886 articles et autant d'affiches, plus de 500.000 pages visitées ! C'est dur de ne plus le faire vivre, mais il sera maintenu ouvert tant qu'il y aura une petite chance de le faire revivre ou que le temps fasse doucement son œuvre de délitement ! 

Je ne vous dis pas adieu, plutôt au revoir, juste pour l'espoir...

En attendant, je file dans ma déprime ! Profonde...